lecture

Un point positif heu si si il y en a, je vais lire.

J’ai fini « La fille de papier » de Musso. Contrairement à Angie je ne le considère pas comme son meilleur ouvrage mais je l’ai bien aimé tout de même, je l’ai lu sans jamais me lasser.

Mais ce qui m’a interpellée dans cette lecture et je ne m’en suis rendue compte qu’à la fin, c’est que souvent en le lisant je me suis dit mais bien sur , l’amour est là et ça marche à tous les coups, bien sur avec quelques difficultés mais ça fonctionne à chaque fois et moi je n’y crois plus. Comme si c’était invraisemblable !!

Alors qu’une grosse partie du roman nous fait vivre une chose totalement irrationnelle et sur laquelle je ne me suis posée aucune question et qui m’a paru totalement normale.

Mon sens des valeurs et de la vérité serait il altéré ?? Mes voyages virtuels et mon statut d’avatar et d’être humain me laissent ils croire à des mondes parallèles ??

Mais ce que je trouvai invraisemblable dans ce roman n’était pas du tout l’invraisemblable mais juste les sentiments qui même s’ils prenaient des chemins compliqués aboutissaient toujours alors que dans la vie réelle  ce n’est  pas ça du tout, enfin pas pour tout le monde ou pas longtemps, ou ……………

Vite attaquer un nouveau livre pour ne plus penser !!!!!!!!!!

Quelle ironie dans ma bibliothèque, l’homme qui voulait être heureux, et le vieil homme qui m’a appris la vie, sont les deux premiers à me tendre les pages.

Vous croyez que ça calmera la marée qui me ravage ??

Parce que moi je veux bien apprendre tout ce que l’on veut mais la loi des séries ça s’arrête à un moment ??? On dit après la pluie le beau temps, on dit la roue tourne, j’ai fait quoi moi ?? la mienne elle est grippée toujours dans le même sens la roue ?? et pour le beau temps j’ai un micro climat défavorable, et la série elle peut pas changer de registre ???

Jean Philippe je mange un carré de chocolat en pensant à toi, non je ne t’abandonne pas aussi vite ce n’est pas moi qui décide.

Anne du haut de ta tour ne t’inquiète pas en scrutant l’horizon.

Roger, dès lundi je prends ton numéro de téléphone.